Sonntag, 2. Februar 2020 Wintertreff TEE-CLASSICS in Eiken

Als besonderer Leckerbissen bietet der diesjährige Wintertreff zugleich die Eröffnung der TEE Bar 1051 im Orginal – Zustand von 1961 – 1988.

Wir freuen uns ab 13:00 Uhr auf den Besuch von zahlreichen Mitgliedern, auf interessante Gespräche und natürlich auf auf das gemeinsame Anstossen an der neuen Bar.

13. Januar 2019 Vereinstreff an der TEE-Bar Eiken

Am Sonntag den 13. Januar 2019 findet der jährliche Vereinstreff an unserer TEE-Bar in Eiken AG statt. Ab 12:45 hat die Bar im Haus „Etoile du Nord“ von Urs Berger geöffnet.

Mitglieder und Freunde von TEE-Classics sind herzlich willkommen zum  gemütlichen Beisammensein mit Bier, Kaffee oder eben TEE.

Die im Jahre 2010 eröffnete Bar stammt aus dem ehemaligen RAe-TEE II 1051.

Trans Europ Express (1957-1990) – Art de l’affiche (AVRIL 2018 Rail Passion Nr. 246)

Trans Europ Express (1957-1990) – Art de l’affiche

Daniel Häni

Ce bel ouvrage se propose de recenser, comme son titre le laisse supposer, l’ensemble des affiches réalisées pour la promotion de ce prestigieux service dans les différents pays européens concernés (Allemagne, France, Suisse, Belgique, Pays-Bas, Suisse, Danemark, Italie…). Toutes les affiches sont ainsi reproduites par ordre chronologique accompagnées de courts textes de commentaires. Sont également traités les services apparentés aux TEE ou leur ayant fait suite comme les Trans Euro Nuit, les InterCity, les TEE Marchandises (dont l’existence est peu connue) et les trains de confort des ÖBB (qui n’appartenaient pas au consortium TEE). Un livre qui par son exhaustivité peut être considéré comme un ouvrage de référence.

Édité par Rotten Verlag, 100 pages en couleurs.

À commander à : daniel.haeni@bluewin.ch

73 (+ 12 de frais de port).

 

LA FABULEUSE AVENTURE DU TRANS EUROP EXPRESS (Rezension in der belgischen Presse)

L’ère TEE fut marquée par de nombreuses affiches publicitaires célèbres

C’est en 1954 que sept compagnies ferroviaires s’unissaient pour offrir aux voyageurs un éventail de liaisons ferroviaires confortables et très rapides entre les capitales et grandes villes, par une marque commerciale forte d’une identité européenne :

« Trans Europ Express. »

Les prémices d’une Union ferroviaire européenne débutèrent en juin 1957, avec les six pays fondateurs de la CEE et la Suisse. Le TEE offrait aux passagers aisés un voyage luxueux et rapide en 1re classe uniquement avec une cuisine à bord du train, peu d’arrêts et un contrôle douanier dans le train.

L’identité de cette jeune marque européenne en pleine expansion était représentée par son matériel roulant, dans une livrée unique bordeaux/beige, par son logo incliné signe de vitesse et de progrès.

De l’aluminium, du revêtement stratifié et un éclairage au néon marquaient l’apparence extérieure.

LA CRISE PÉTROLIÈRE et monétaire qui débuta en 1973 sonna le glas des Trente Glorieuses et conduisit au déclin du TEE.

La crise économique atteignit tout particulièrement les compagnies ferroviaires européennes, le TEE perdit sa clientèle et le 1er juin 1987, la marque TEE disparut des directives de l’Union internationale des chemins de fer.

L’ère TEE fut marquée par de nombreuses affiches publicitaires célèbres vantant les atouts de ces nouveaux trains rapides à travers l’Europe.

Un collectionneur suisse et fondateur d’une association de préservation des TEE, Daniel Häni, vient de publier un très bel ouvrage consacré à l’histoire de toutes ces splendides affiches promotionnelles de ces trains de luxe.

L’ouvrage explique comment l’affiche a été utilisée dans la publicité touristique pour promouvoir, le trafic voyageur international, haut de gamme, et rend de manière visible toutes les sensibilités des différentes compagnies ferroviaires qui ont contribué à la fascination de l’ère du Trans Europ Express pendant une trentaine d’années.

De grands graphistes connus ont collaboré aux campagnes publicitaires de promotion des trains TEE; en Belgique, le peintre et artiste Gaston Bogaert dessina plusieurs affiches pour la SNCB sous le pseudo de Capouillard en prenant pour modèle les dessins humoristiques du Français Raymond Savignac.

L’architecte Paul Funken participa, également, à cette grande aventure par des dessins reprenant une constante simplicité du graphisme et une composition verticale des affiches.

CES PUBLICITÉS s’adressaient surtout aux hommes d’affaires, aux fonctionnaires et aux hommes politiques, et les messages publicitaires définissent par des slogans mémorisables ce qu’étaient les priorités des voyageurs de l’époque TEE : rapidité, élégance et confort dans des liaisons de courte durée entre grandes villes européennes.

En parcourant les 160 illustrations d’excellente qualité de reproduction au cours des 200 pages de ce splendide ouvrage, on revit rapidement avec nostalgie quelques grands noms des trains de l’époque.

Non, les TEE n’étaient pas un numéro, ni S20 ni IC 428 mais ils portaient un nom, lié à l’histoire des pays traversés :

  • Saphir
  • Etoile du Nord
  • Ruban Bleu, Rubens
  • Parsifal
  • Edelweiss
  • Rheingold
  • Gottardo
  • Rembrandt
  • Iris
  • Memling
  • Molière.

Un splendide ouvrage rédigée en allemand, anglais et français qui peut être commandé au prix de 73 € auprès de l’auteur : daniel.haeni@bluewin.ch.

Auch auf Youtube gibt es einen interessanten Beitrag zu Daniel und seinem Buch.

TEE – Plakate: Das Buch zum Thema (Semaphor Nr. 55 / Herbst 2017)

Wer sich für die TEE – Epoche interessiert, weiss meist recht gut Bescheid über deren Lokomotiven, Triebzüge und Wagen.

Deutlich geringer hingegen ist die Zahl derjenigen Bahnfreunde, welche andere Prioritäten huldigen. Einer dieser <<Exoten>>

ist Daniel Häni: Er forschte seit Jahrzehnten in Sachen  <<TEE – Plakate>>. Nun hat er zu diesem Thema ein Buch verfasst – ein Werk,

das keine Konkurrenz kennt.

Eigentlich, so könnte man meinen, sind zum Thema Trans Europ Express (TEE) bereits mehr als genügend Bücher, Fachzeitschriftenbeiträge (teilweise als Sonderausgaben), Videos und DVDs auf den Markt gekommen. So jedenfalls dachte der hier Schreibende bis vor kurzem. Nun aber belegt eine eindrückliche Publikation das Gegenteil: Daniel Häni hat während Jahrzehnten TEE – Plakate gesammelt und akribisch die dazugehörenden Hintergründe erforscht. Daraus ist jetzt ein Buch entstanden – zum Glück.

Lob auch von TEE-Experten

Und wahrlich: selbst ein gestandener Kenner wie Urs G. Berger vom Verein TEE Classics gab an der Vernissage seiner positiven Verwunderung darüber Ausdruck, auf wieviel für ihn unbekanntes Material Daniel Häni im Laufe der Recherchen noch gestossen ist – und das will etwas heissen! Denn das Aufspüren alter TEE – Plakate ist eine Sache, erläuternde Informationen darüber zu finden hingegen eine Andere. Schon gar nicht zu reden vom Abklären allfälliger Copyrights, erforderte dies doch eine gehörige Portion kriminalistischen Spürsinn, denn die Erben der mittlerweile oftmals verstorbenen Urheber waren meist unauffindbar. Dazu eine Art Klammerbemerkung: Einfach auf gut Glück, ohne Klärung des Copyrights, ein Bild, ein Plakat oder einen Text abzudrucken entspricht nicht dem gängigen Recht – und kann teuer werden.

Bemerkenswert am hier vorliegenden Buch sind somit unter anderem:

  • Grossartige, oft fast schon vergessene Kunstwerke hat man legal ihrem jahrzehntelangen Dornröschenschlaf entrissen. Denkbar ist sogar, dass Modelleisenbahner die Bilder verkleinern und damit ihre Miniaturbahnhöfe schmücken. Sofern das einzig und allein für den Privatgebrauch geschieht, sind derartige Handlungen zulässig.
  • Diverse Plakatmotive schafften es in der TEE – Ära sogar, mehrsprachig gedruckt zu werden, und stellten sich  damit voll und ganz hinter den transeuropäischen Gedanken. Gleich mehrere derartige Beispiele finden sich im Buch auf einer Doppelseite vereint.
  • Die Texte, sind ebenfalls dem internationalen Gedanken des TEE verpflichtet, in Deutsch, Englisch, und Französisch gehalten.
  • Das Vorwort steuerte Benedikt Weibel (ehemaliger Chef der SBB bei.
  • Weitere Beiträge stammen von Bettina Richter (Kuratorin der Plakatsammlung des Museums für Gestaltung in Zürich) und von Sebastian Ramspeck (EU – Korrespondent fürs Schweizer Fernsehen SRF in Brüssel).
  • Je ein separates Kapitel ist den Themen TEN (Trans Euro Nacht/Night/Nuit) und TEEM (Trans-Europ-Express-Marchandises) [Güter-TEE] gewidmet.
  • Der Beitrag von Arjan den Boer (Dozent an der Universität Utrecht), umfasst die Biografen der Plakatkünstler.
  • Ebenfalls vorhanden ist ein Bild- und Literaturnachweis, ergänzt durch eine Erläuterung der benutzten Abkürzungen.
  • Abgerundet wird das Werk durch eine Tabelle der TEE-Verbindungen 1957 – 1991.

Fazit: Die gut gedruckte Publikation ist ihren Preis mehr als wert, vervollständigt sie doch unser Wissen über die TEE-Epoche. Oder, um es in den Worten Benedikt Weibels zu <<sagen>>:

<<Dieses Buch bringt diese vergangene Zeit mit wunderbaren Bildern zurück. Man wird etwas nostalgisch dabei. Die Idee wäre so gut gewesen….>>

Text/Foto: Christian Zellweger

TRANS EUROP EXPRESS AFFICHES (Artikel im Journal CdF_Spoorweg Journaal Belgien) September 2017

Format de 24.3 x 32.5 cm, 204 pages, en tros langes (allemand, francais, anglais)

A commander chez Daniel Häni, Bielerstrasse 5, CH – 8942 Oberrieden, Prix 92.00 euro (frais de port compris)

 

C’est Sous cette dénomination que Daniel Häni püblie un livre traitant des affiches röalisées par les Administrations ferroviaires des pays suivants: Belgiwue, Dänemark, Allemagne, France,Italie, Luxembourg, Pays-Bas et Suisse, pendant la période 1957 – 1990.

Ce livre décrit non seulement de manière chronologique la genèse des differentes affiches et par qui elles ont été dessinées, mais aussi les projets qui ont mené à différents logos, comme celui des TEE, des TEEM et des TEN.

Toutes ces affichessont reproduites en grand format et illustrent des rames et des convois divers, mais aussi des dessins graphiques destinés a attirer l’attention du public sur les différentes formes  de traction des Trains TEE. A travers les âges, ces magnifiques affiches que ces differentes Administrations ferroviaires ont fait concevoir en Grand Format constituent un véritable voyage dans le monde des TEE de l’époque.

La mutation des TEE en Euro City est également illustrée par des affiches, toute comme les Trans Euro Nuit et les Trans Europ Express Marchandises, des types de Trains pour lesquels certaines administrations ferroviaires ont également fait réaliser de très intéressantes affiches.

Pour terminer, plusieurs artistes de nationalités differentes ayant conçu ces magnifiques affiches sont également passé en revue.

Grâce à toutes ces affiches, ce livre offre une magnifique image de l’évolution des chemins de fer de 1957 à 1990; ce livre ne pourrait manquer dans aucune bibliothèque d’amateur de chemin de fer. (Max Delie)

Als die Bahn dem Automobil die Show stehlen wollte. (Tagesanzeiger-Artikel vom 31.08.2017)

Fotoband

Als die Bahn dem Automobil die Show stehlen wollte

Es gibt Marken, die jedermann kennt – auch wenn das beworbene Produkt längst nicht für jedermann erreichbar ist. Dazu gehörte einst der Trans Europ Express, kurz TEE, ein Luxuszug, von dem die meisten Bahnkunden nur träumen konnten. Mit einem Netz von internationalen Zügen, die besonders schnell und komfortabel waren, wollten sich sieben europäische Bahngesellschaften nach dem zweiten Weltkrieg eine Marktnische sichern, die bedroht war. Denn die Eisenbahn galt als altväterisch, wer etwas auf sich hielt, nahm das Auto oder das Flugzeug. Der Autobestand in der Schweiz stieg von 1950 bis 1970 von 147000 auf 1,38 Millionen. Am 1. Mai 1952 begannen die Fluggesellschaften mit der Einführung der Touristenklasse, plötzlich war das zuvor den Eliten vorbehaltene Flugzeug ein Konkurrent der Bahn. Die Grundidee des TEE, von der später abgewichen wurde, war ein kurzer Zug, der nur erste Klasse führte, ohne Halt an den Landesgrenzen verkehrte und besonderen Komfort bot, sogar eine Klimaanlage. 157 fuhren die ersten solchen Züge, nun musste das neue Angebot dem Publikum erklärt werden. Prominente Werbemittel waren Plakate. Daniel Häni, wie viele Eisenbahnfreunde ein Bewunderer des TEE, hat diese Plakate gesammelt, mit denen die Bahnen für den Zug warben. In einem Buch stellt er Beispiele aus sechs Ländern vor. Die Sammlung ist ein Querschnitt durch die Plakatkunst der Nachkriegszeit, dargestellt in einem einzigen Produkt. Die Werber sprachen die Kundschaft auf verschiedenen Ebenen an, auch die Grafiker setzten auf Vielfalt und Stile. Ein begehrtes Zielpublikum waren Geschäftsleute, denen die kurzen Reisezeitenvorgerechnet wurden. In Ländern in denen noch Dampf- und Dieselbetrieb üblich war, wurde der fortschrittliche elektrische Antrieb hervorgehoben, was heute ziemlich vorgestrig wirkt. Auch das Design der Züge wurde angepriesen, kraftprotzend die Diesellokomotiven, zeitlos elegant die elektrischen Kompositionen der SBB. Das TEE Konzept hatte ein kurzes Leben, die Staatsbahnen konzentrierten sich bald auf den Inlandsverkehr, die internationalen Schnellzüge und der Nachtverkehr wurden vernachlässigt. Heute wird versucht, das verlorene Terrain zurück zu gewinnen. Eine Marke wie TEE gibt es nicht mehr. Das Buch ist eine schöne Erinnerung.

Walter Jäggi

Daniel Häni: Trans Europ Express Plakatkunst.

Rottenverlag, Visp 2017.

204 S, ca 79 Fr.

Trans Europ Express (Publikation zur Buchbesprechung im Eisenbahnamateur 09/2017)

Daniel Häni

1957 – 1990

Transeurop Express

Plakatkunst – Poster art – Art de l’affiche

(204 Seiten, 240 x 320 mm, rund 160 grossformatige Farbillustrationen, durchgehend dreisprachig D – E – F, Hardcover, Fadenheftung,

ISBN 978-3-906118-51-2, Daniel Häni, Bleierstrasse 5, 8942 Oberrieden, Herstellung Mengis Druck und Verlag Ag, Visp, FR 79.- plus Verpackungskosten.)

 

Als grosser Erfolg der beteiligten Staatsbahnen ist die Geschichte des Trans Europ Express zu Recht bewertet worden. Zum Thema TEE, zum Konzept und zum Betrieb der TEE-Züge sind schon zahlreiche Publikationen erschienen. Das vorliegende Werk soll die bestehende Literatur ergänzen. Es befasst sich erstmalig und exklusiv mit der Plakatwerbung der TEE-Verbindungen der Staatsbahnen DB, SNCF, SNCB, NS, SBB und FS. So wie der grenzüberschreitende Personenverkehr mit TEE-Zügen erstklassig war, so hochwertig ist auch die Plakatkunst für die entsprechende Reisewerbung. Bekannte Grafiker haben eindrückliche und aussagekräftige Plakate geschaffen, welche auch die noch heute ausstrahlende Faszination der TEE-Ära untermalen. Während rund 30 Jahren wurde das Vorzeigeprodukt TEE mit kunstvollen Plakaten beworben.

Das wohl strukturierte Werk beinhaltet ein Vorwort von Benedikt Weibel, die Entwicklung der Plakatgeschichte und der TEE-Züge, hervorragende Reproduktionen der umfangreichen Plakate für TEE, TEN (Trans Euro Nacht), und TEEM (Trans Europ Express Marchandises). Erwähnenswert sind auch die grosszügige Gestaltung des Buches und die Tatsache, dass sämtliche Texte in den drei Sprachen Deutsch, Englisch und Französisch gehalten sind, ein eher seltenes und hier gelungenes Unterfangen.

Das vorliegende Buch ist nicht nur hervorragend gedruckt; es entstanden auch hohe Kosten für die digitalen Plakatdaten und die Urheber-Nutzungsrechte, was den Verkaufspreis durchaus rechtfertigt. Die Freunde des unvergesslichen TEE-Zeitalters erhalten für ihre Bibliothek einen vorzüglichen Gegenwert.

MB

 

Dynamische Plakate für schnelle Züge (Publikation Zürichsee Zeitung 01.06.2017)

Es ist genau 60 Jahre her, dass Züge des Trans Europ Express (TEE) erstmals durch Europa rollten. Der Bildband «Trans Europ Express Plakatkunst 1957-1990» zeigt, wie damals für die Luxuszüge geworben wurde. Herausgegeben hat ihn ein Oberriedner.

Manch älterer Oberriedner mag sich noch erinnern, dass TEE-Züge in Richtung Mailand den Bahnhof Oberrieden Dorf rasant durchquerten. Ab 1957 verbanden 13 TEE-Dieseltriebzüge die wichtigsten Hauptstädte Europas. 1961 wurde das Netz der Städteverbindungen aus der Schweiz mit den elektrischen Rae TEE II erweitert.

Diese Triebzüge waren für vier Stromsysteme ausgelegt und konnten deshalb ohne Lokomotivwechsel zwischen Mailand, Paris, Brüssel und Amsterdam verkehren. Damals verliess der TEE «Gottardo» mit vier Erstklass-, einem Speise- und einem Küchen- und Maschinenwagen Zürich um 8.50 Uhr. Seine Höchstgeschwindigkeit betrug 160 km/h. Den Bahnhof Mailand erreichte der Zug nach 3 Stunden 47 Minuten. «Die heutige Reisezeit durch den neuen Gotthard-Basistunnel beträgt 3 Stunden 26 Minuten», sagt der Herausgeber des Bildbands, Daniel Häni.

Der Anstoss, das TEE-System zu entwickeln, kam in den 1950er-Jahren vom Generaldirektor der niederländischen Staatsbahnen Franciscus Quirien Den Hollander. Am europäischen Bahnprojekt beteiligten sich die Bahnen von Belgien, Deutschland, Frankreich, Italien, Luxemburg, der Niederlande und als einziger nicht EWR-Staat die Schweiz. Später kamen noch Spanien und Dänemark dazu. «Ziel war ein Bahnangebot mit möglichst kurzen Reisezeiten zwischen den Metropolen und Tourismusorten dieser Länder», erklärt Daniel Häni. Dass es gelungen sei, ein einheitliches Erscheinungsbild der Züge zu schaffen, sei erstaunlich. Das Markenzeichen der TEE-Express-Züge wurde die Farbkombination «Weinrot/Beige».

Fündig im Wirtschaftswunder-Museum

Geworben wurde mit Komfort und Geschwindigkeit der Erstklass-Züge. Die beteiligten Staatsbahnen beauftragten namhafte Kunstschaffende, deren Biografien im Buch aufgelistet sind, für die Plakate. «In den Plakaten wird ersichtlich, was die Faszination der TEE-Ära ausmachte», sagt Häni. 160 Plakate hat er aus ganz Europa zusammengetragen. Zwei Jahre hat der in seinem früheren Berufsleben in der Agrochemie Tätige für sein erstes Buch recherchiert. «Bei Vereinen, Museen und Sammlungen, auch Privatpersonen», erzählt er. «In Deutschland gibt es ein Wirtschaftswunder-Museum, da wurde ich auch fündig.

«Die Plakate zeigen die Aufbruchstimmung und den Zeitgeist.»Daniel Häni, Herausgeber

Die Plakate zeigen die Aufbruchstimmung und den Zeitgeist», sagt er. Diese zu veröffentlichen war auch eine Kostenfrage. «Museen oder Sammlungen stellen diese nicht gratis zur Verfügung.» Die Texte bieten eine französische und englische Übersetzung der deutschen Texte.

Natürlich sind auch Schweizer Plakate aufgelistet. «In den Plakaten von Kurt Wirth und Hans Hartmann zeigt sich exemplarisch die Vorreiterrolle des Landes im progressiven Design der Nachkriegsjahre», schreibt Kunsthistorikerin Bettina Richter. Fotografie und Grafik als gestalterische Mittel, eine klare Komposition und die präzzis eingesetzte Typografie seien Charakteristika des nüchternen, objektiven Swiss Style.

Europa-Bahnen hatten schweren Stand

Das europäische Bahnprojekt beinhaltete auch in Europa verkehrende Nachtzüge (TEN (Trans Euro Nacht) und Güterzüge (TEEM Trans Europ Marchandises). Auch diese Züge sind mit Plakaten beworben worden.

Warum die Europa-Bahnen in der EU einen schweren Stand hatten, erläutert Sebastian Ramspeck, EU-Korrespondent des Schweizer Fernsehens. «Die europäische Integration ist von ihrem Wesen her stets vor allem ein Liberalisierungsprojekt gewesen, sehr viel weniger ein Investitions- und Infrastrukturprogramm.» Der Eisenbahn habe das nicht geholfen.

Nach dreissig Jahren endete das so engagiert gestartete europäische Bahnprojekt. Benedikt Weibel, ehemaliger SBB-Chef, erklärt es: «Züge mit ausschliesslich erster Klasse fanden keine ausreichende Nachfrage. Ausserdem waren es zu wenig Sitzplätze.» Die Züge wurden verschrottet. Ein Schweizer Exemplar konnte gerettet werden. SBB Historic übernahm die am besten erhaltene Komposition, restaurierte sie zu einem Zug mit 210 Plätzen und bietet sie für Extrafahrten an.

«Trans Europ Express, Plakatkunst 1957 – 1990», ISBN 98-3-906118-51-2, 79 Franken, ist im Mai 2017 erschienen und kann beim Autor Daniel Häni, daniel.haeni@bluewin.ch sowie bei Rotten Verlags AG, Visp, bestellt werden. (Zürichsee-Zeitung)

25. April 2016: Bildvortrag über die Geschichte der SSG 1903-2003

Frisch eingedeckter Speisewage im RAe TEE II, 1961, Foto: Archiv SEAK

Frisch eingedeckter Speisewage im RAe TEE II, 1961, Foto: Archiv SEAK

Unser Ehrenmitglied Urs Berger hält anlässlich der SEAK-Mitgliederversammlung am Montag, 25. April 2016 um 18.30 im Restaurant Muggenbühl in Zürich einen Bildvortrag über die Geschichte der Schweizerischen Speisewagengesellschaft SSG.